mercredi 18 novembre 2009

À l'eau!

Avant :


Après :

YEAH! Enfin! Je ne dirais pas qu’elle est propre, ce serait exagéré, mais elle est salubre… il ne m’en fallait pas plus. 18h ce soir, enfin. J’en suis arrivé à la conclusion qu’il me faudrait beaucoup trop de travail pour arriver à obtenir une eau parfaitement limpide (c'est-à-dire changer le sable du filtre et trucs du genre…) Là elle est propre, je l’accepte comme telle!!! J’ai une piscine baignable. Génial!

Autre sujet, j’avais expliqué dans un billet écrit à l’été 2007 ce qu’était le polissage en métallurgie… Je n’ai pas vraiment envie de recommencer. Si je peux résumer en une phrase (ou deux!), ça va comme suit : pour observer comment les métaux sont faits de l’intérieur, on les observe au microscope… et pour ce faire, on doit observer la lumière qui y est réfléchie, d’où l’intérêt de polir l’échantillon qui nous intéresse à l’état de miroir quasi-parfait. Un travail délicat, long et… chiant. J’avais cette opinion lors de mon billet de 2007. J’ai passé l’avant-midi à polir aujourd’hui. Toujours aussi chiant! Par chance, depuis le nombre de fois que j’en fais au cours des dernières années, je deviens pro… Je déteste toujours autant, mais j’y passe moins de temps. Mais à chaque fois, je me dis « celle-là c’est la dernière, plus jamais je fais un projet où je dois polir… » J’ai hâte que ce soit vrai!

Petit clin d’œil sur lequel il faudra que j’élabore un peu plus par ailleurs : vous ais-je déjà parlé de la philosophie australienne?!? Pas que tous sont comme ça, pas du tout. Faudrait pas généraliser. Mais quand même… ça se résume très simplement en la phrase fétiche entendue à chaque occasion possible et imaginable : « No worries mate ». Là vous lisez ça et le prononcez à l’américaine, ou à l’européenne… non. En australien, c’est pareil, mais avec une patate chaude dans la bouche. Et ça donne un résultat qui concorde mieux avec l’état d’esprit qui est derrière. Y’en a pas d’problème! Don’t worry! Take it easy… Et pis, juste le fait que tout le monde soit « mate », c'est-à-dire « mon pote », ça aussi ça fait très coooooooool. Mais ici donc, on comprend assez vite que les problèmes sont rares… Chaque étranger a eu besoin d’une période d’adaptation à cette réalité… et particulièrement à cette phrase entendue partout! Normalement ce n’est pas trop long… Si tout le monde disait tout le temps « ah ben là tu vas pas me faire chier! », ce serait un peu plus intimidant. Mais là… No worries mate!

Sur ce… c’était la fenêtre australienne du jour, toujours aussi disparate.

See ya! (c’est comme « see you », mais en australien le « ou » ça fait « a »)

2 commentaires:

  1. J'irais bien faire quelques longueurs dans ta piscine, moi!!! Sous les eucalyptus, avec quelques possums siamois qui observent la scène discrètement!
    Et je n'ai aucun problème avec la disparité de la fenêtre australienne!!!

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  2. Moi je suis bien d'accord pour rêver un peu de prendre une bière australienne sur le bord de ta piscine.Tu connais ma grande affinité avec la baignade...Je m'imagine très bien en bonne compagnie !No worry mate,prend-en une à ma santé.
    See ya

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